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Conseils pour organiser des funérailles
On n’aime pas y penser. Mais il se peut que vous ayez à organiser ses funérailles un jour. Voici quelques conseils pour simplifier les choses dans ces moments difficiles.
On n’aime pas trop aborder le sujet. On s’y prépare souvent bien mal. Pourtant, c’est inévitable un jour ou l’autre. Je parle bien sûr…
… de la mort.
Même le mot semble tabou. Au lieu de dire que quelqu’un est décédé, on préfère dire qu’il est « parti ». Pourquoi? Sans doute parce qu’on a peur de blesser ou de choquer. Ou parce qu’il est trop difficile de voir la réalité de la mort en face. Lorsqu’un proche meurt et qu’il faut prendre les dispositions nécessaires, cela peut être encore plus difficile.
C’est ici que j’espère pouvoir faciliter vos démarches. J’ai planifié ou contribué à planifier plusieurs funérailles, dont celles de ma mère et de ma belle-mère. J’ai aussi aidé à organiser des funérailles lorsque je travaillais dans une grande église de Toronto. Au décès de mon père il y a deux ans, je pensais donc maîtriser parfaitement le sujet. Il s’est avéré que non. Permettez-moi de vous faire part de ce que j’ai appris, pour éviter que cette période ne soit plus difficile pour vous qu’elle ne l’est déjà.
Comment organise-t-on des funérailles?
Ce genre d’événement implique de nombreuses décisions. Elles dépendront de vos traditions religieuses ou culturelles, mais elles ressembleront aussi beaucoup à celles que j’ai dû prendre. Je vous les présente ci-dessous, dans un ordre à peu près chronologique. Je parle de « parents ou conjoints »; c’est probablement pour eux que vous aurez à planifier des funérailles.
1. Faut-il forcément organiser des funérailles?
En fait, il n’y a aucune obligation. Mais même si vous y renoncez, certains devoirs et certains coûts s’imposent toujours. Je pense personnellement que les funérailles sont importantes. De la même manière que les anniversaires ou les mariages, elles représentent une étape importante de nos vies. Elles nous aident aussi à tourner la page. Au décès de mon père, je n’ai recommencé à respirer qu’une fois la cérémonie terminée.
Les rites funéraires traditionnels vous paraissent ennuyeux et dénués de sens? Optez plutôt pour une cérémonie pleine de joie afin de célébrer la vie. Si c’est une question d’argent, je vous rassure, pas besoin de vous ruiner pour exprimer votre respect. Et si votre père, mère, conjoint ou conjointe avait une assurance-vie, le capital-décès peut couvrir la totalité des coûts. Même un contrat «de base» peut suffire à couvrir les frais funéraires.
2. Quel salon funéraire choisir?
Au décès d’un proche, vous n’aurez pas beaucoup de temps pour comparer les offres. Pourquoi? Parce que le processus doit commencer sans délai. Il s’avère donc utile d’y réfléchir à l’avance, dans la mesure du possible. Si vous n’avez aucun salon en tête, n’hésitez pas à consulter votre famille ou vos amis. N’oubliez pas de prendre en compte :
- L’emplacement;
- La taille de la salle de réception;
- Les places de stationnement et l’accessibilité en transport en commun.
3. Enterrement ou incinération?
Les Canadiens privilégient de plus en plus l’incinération. D’après Statista, le pourcentage d’incinérations se situait en dessous de 48 % en 2000. En 2020, il était de plus de 73 %. En 2004, la possibilité d’incinérer ma mère ne nous a même pas effleuré l’esprit. En revanche, en 2020, le choix a été clair pour mon père.
4. La cérémonie se déroulera-t-elle dans un lieu de culte, au salon funéraire ou ailleurs?
Saviez-vous que vous pouviez choisir un autre endroit? Moi, non. Mon père a longtemps été membre d’une église. Il était donc évident que cette cérémonie se tiendrait à l’église. Mais que faire si vous n’avez aucune affiliation religieuse? Que choisir si vos convictions et celles de vos frères, sœurs ou enfants divergent? Beaucoup de personnes organisent la cérémonie directement au salon funéraire. Mais même la chapelle du funérarium pourrait revêtir un aspect trop « religieux » à votre goût. Dans ce cas, vous pouvez choisir d’organiser cette célébration de la vie dans un lieu plus symbolique. Ce pourrait être dans un parc, dans votre chalet ou même dans votre pub préféré. (Nous reviendrons sur la célébration de la vie un peu plus loin.)
5. Quelle sera la date de la cérémonie?
Le samedi semble être le jour idéal pour permettre à tout le monde d’être là sans s’absenter du travail. Mais la plupart des églises privilégient les funérailles en semaine. Et certains cimetières affichent des tarifs plus élevés le samedi. Les funérailles traditionnelles, où le corps est placé dans le cercueil, ont lieu quelques jours après le décès. En effet, pour certaines confessions, comme le judaïsme et l’islam, la date est imposée. Cependant, en ce qui concerne l’incinération et la célébration de la vie, l’échéance est plus flexible. Vous avez plus de temps pour prendre vos dispositions et pour accueillir les membres éloignés de votre famille.
6. Y aura-t-il des visites?
La visite est une réception au salon funéraire avant la cérémonie. Traditionnellement, les gens viennent rendre un dernier hommage au défunt. Comme la plupart des funérailles se déroulent en semaine, des visites sont autorisées le soir pour que ceux qui travaillent puissent se recueillir. On n’envoie pas d’invitations formelles (ni d’ailleurs pour les funérailles, à moins qu’elles soient privées). On passe simplement le mot. Vous ne saurez donc pas combien de personnes viendront. Le salon funéraire peut vous aider à estimer ce chiffre, en fonction de la taille de votre famille.
7. Qui dirigera le service?
Si la cérémonie se déroule dans un lieu de culte, un membre du clergé s’en chargera. Si vous en avez l’autorisation, vous pouvez inviter un membre du clergé que vous connaissez (un rabbin par exemple). Certains, comme les catholiques romains et les prêtres anglicans, dirigent seulement les cérémonies funéraires qui ont lieu à l’église. Il y a autre chose que j’ignorais : la présence d’un ministre ordonné n’est pas obligatoire lors des funérailles. Le clergé ordonné assure la tenue de nombreuses cérémonies dans des salons funéraires. Mais des professionnels non ordonnés appelés « célébrants de vie » peuvent en diriger ailleurs. Pour des adieux non conventionnels, le célébrant peut être une bonne option.
8. Où aura lieu l’inhumation?
On choisit d’habitude un lieu où l’on peut (soi-même et sa famille) se rendre facilement après l’enterrement. Pour ma mère, mon père avait acheté un lot où il souhaitait lui aussi être enterré à son décès.
Si vous n’avez pas de lot ni de préférence, le salon funéraire vous proposera un emplacement. Mais c’est à vous de faire les démarches auprès du cimetière que vous aurez choisi. Vous devrez donc :
- Contacter le cimetière;
- Choisir l’emplacement et la pierre tombale;
- Payer les frais.
- Si vous attendez l’argent d’une assurance-vie, le cimetière, tout comme le salon funéraire, peut généralement attendre le paiement. Là encore, il peut être utile d’y penser à l’avance.
D’autres points à ne pas négliger :
- Les membres de la famille pourront-ils s’y rendre facilement?
- Quelles sont les règles concernant les fleurs et les stèles? (Certains cimetières n’autorisent que les pierres tombales plates pour faciliter la tonte de l’herbe.)
9. Qui prononcera un discours lors des funérailles?
L’éloge funèbre n’est pas obligatoire. Mais si vous souhaitez rappeler à tous qui était la personne décédée, quelques anecdotes personnelles d’un ami ou d’un proche peuvent être de circonstance.
J’ai écrit et prononcé plusieurs discours lors de funérailles. Voici quelques conseils qui m’ont été utiles : il faut rester concis, personnels et respectueux. Ce n’est pas le moment de dévoiler des secrets de famille ou de faire part de vos griefs. Limitez le nombre d’intervenants. Plusieurs personnes peuvent se porter volontaires, mais c’est à vous de choisir qui prendra la parole. Ma sœur et moi-même avons prononcé l’éloge principal pour mon père, et chaque petit-enfant s’est brièvement exprimé.
10. Les fleurs sont-elles nécessaires?
De nombreux avis de décès proposent de faire un don de bienfaisance au lieu de donner des fleurs. C’est ce qu’ont fait certaines personnes aux funérailles de mon père. Mais j’étais également très heureuse d’avoir reçu des fleurs. Nous les avons partagées entre les membres de la famille et elles ont illuminé nos maisons plusieurs jours durant.
11. Qui choisit la musique et les lectures?
C’est vous, en consultation avec le célébrant ordonné ou laïque et le responsable de la musique. Si les textes sacrés ne vous sont pas familiers, ils pourront vous suggérer quelques passages. La plupart des églises exigent la diffusion de musique religieuse durant le service. Vous aurez probablement plus de marge avant et après. Vous vous attendez à ce que peu de gens soient présents? Il est préférable d’éviter les chants liturgiques, car une foule clairsemée peut sembler triste. Des musiques laïques pourront être diffusées dans le salon funéraire ou ailleurs.
12. Qu’en est-il des photos?
Au décès de ma mère, nous avions créé des tableaux en mousse sur lesquels nous avions accroché des photos. Aujourd’hui, il est plus courant de voir des diaporamas diffusants des photos en boucle. Dans tous les cas, cela demande du travail. Vous devez sélectionner les photos et faire un montage. Ou bien, vous devrez rassembler des photos numériques, scanner les anciennes et stocker le tout sur une clé USB. (Assurez-vous que l’église ou le salon funéraire peut les diffuser avant de vous donner tout ce mal.) Si vous n’avez pas le temps, déléguez cette tâche à un ami ou à un membre de la famille.
13. Où se tiendra la réception?
En général, les funérailles ont lieu le matin ou l’après-midi (respectivement suivies d’un repas léger et de rafraîchissements). Pour le goûter, nous avions offert à nos convives les services d’un traiteur dans la salle paroissiale. Vous pouvez aussi servir le repas dans la salle de réception du salon funéraire ou même au restaurant. Si vous avez la place et l’aide nécessaire, vous pourriez même accueillir les gens chez vous. Mais jouer les hôtes pourrait être la dernière chose dont vous ayez envie. Quel que soit votre choix, faites ce qui vous convient le mieux.
14. Où se réunir ensuite?
Même la plus belle église ou le salon funéraire le plus chaleureux peuvent vous sembler impersonnels. Vous aurez sans doute envie de vous réunir avec votre famille proche une fois la cérémonie terminée, pour décompresser dans un contexte informel. Après l’enterrement de mon père, j’ai invité une dizaine de proches chez moi. Nous avons porté un toast à sa mémoire. Nous en avons profité pour nous remémorer de bons souvenirs et nous raconter des blagues de famille.
Ce qu’il faut savoir sur l’incinération
Au Québec, près de 70% des familles choisissent la crémation. Vous y songez aussi? Ayant moi-même organisé un enterrement traditionnel, puis deux incinérations, j’ai pu relever des différences majeures. En voici quelques-unes :
- Vous devez identifier la personne et donner votre approbation avant que le directeur de funérailles ne l’emmène au crématorium. C’est un moment très difficile d’un point de vue émotionnel.
- Vous devez tout de même acheter un cercueil qui sera incinéré. Mais ce dernier peut être beaucoup moins élaboré et coûteux qu’un cercueil ordinaire.
- Le directeur de funérailles peut vous proposer d’embaumer et de maquiller le défunt. Ces mesures sont toutefois inutiles si l’incinération a lieu rapidement. Même si la personne n’est pas embaumée, elle sera lavée et coiffée.
- Vous devez néanmoins apporter une tenue pour habiller le défunt.
- Si vous souhaitez enterrer la personne avec une montre, un anneau ou tout autre petit accessoire personnel, vous devez signer une déclaration à cet effet. Le personnel du crématorium déposera ensuite l’objet dans l’urne. Nous avons enterré mon père avec une broche Kiwanis.
Que faire des cendres? Tout dépend de vos traditions religieuses, s’il y en a.
- Vous pouvez enterrer l’urne au cimetière, comme nous l’avons fait pour mon père. Vous pouvez la placer dans l’une des niches d’un columbarium. Ou vous pouvez les disperser dans une partie du cimetière prévue à cet effet.
- Vous pouvez les disperser dans un lieu qui vous tient à cœur, sur le terrain de votre chalet préféré, par exemple. Assurez-vous de demander l’autorisation au propriétaire. Au Québec, il n’existe aucune règlementation concernant la dispersion et la disposition des cendres. Mais, « il est interdit de les disperser à un endroit où elles pourraient constituer une nuisance ou d’une manière qui ne respecte pas la dignité de la personne décédée», indique le site du Ministère de la Santé et des Services sociaux.
- Vous pouvez aussi les garder chez vous. Certaines urnes sont très jolies.
Quelles sont les autres options, à part des funérailles traditionnelles?
Que faire si vous ne souhaitez pas de cérémonie à l’église ou au salon funéraire? Une célébration de la vie personnalisée est peut-être la solution.
Saviez-vous qu’il existe des Célébrants de Vie accrédités? Ils conçoivent et organisent des célébrations personnalisées. Tout est envisageable, des réunions de famille jusqu’aux soirées au pub – en passant par les remises de prix. De nombreuses célébrations sont ponctuées d’une cérémonie d’allumage de bougies.
Le prix de la nourriture, des boissons ou du lieu de réception n’est normalement pas inclus dans leur tarif. En revanche, le prix inclut une première rencontre approfondie pour organiser un événement fidèle à la personne décédée. Ils se chargeront de la création, de l’écriture et de l’animation de la cérémonie, durant laquelle ils apporteront tout leur soutien, et ils publieront une notice nécrologique en ligne. Les tarifs peuvent aller de 1 850 $ à 6 000 $, selon le niveau de prestation supplémentaire. Pensez aux Célébrants de Vie si :
- Vous cherchez autre chose qu’une cérémonie à l’église ou au salon funéraire;
- Vous voulez une cérémonie plus représentative de votre proche décédé.
Lors d’une célébration de la vie, vous pouvez diffuser des vidéos ou un diaporama. Vous pourrez vous remémorer les grandes réussites du défunt. Ou encore, raconter des anecdotes amusantes à son sujet et laisser les invités partager leurs propres souvenirs. Rire et pleurer ensemble autour d’une collation peut avoir des vertus thérapeutiques.
Que faut-il faire au décès d’un proche?
Planifier les funérailles est une étape immédiate et nécessaire lors du décès d’un parent ou d’un conjoint. C’est une situation déjà bien assez difficile, mieux vaut tâcher d’alléger le fardeau. Voici une liste des autres choses à faire à la mort d’un proche :
1. Trouver le testament
Le salon funéraire m’a demandé une copie des première et dernière pages du testament de mon père. De cette façon, il a pu prouver que j’étais coliquidatrice et m’autoriser à entamer les différentes démarches.
Poursuivez votre lecture : 6 points importants pour la rédaction d’un testament
2. Annoncer le décès et la date des funérailles
Si vous ne vous en sentez pas la force, c’est une tâche que vous pouvez confier à un ami. Les réseaux sociaux facilitent quelque peu ce genre d’annonce.
3. Faire une liste de toutes les personnes à remercier
Ce n’est pas obligatoire, mais il est de bon ton d’envoyer un message de remerciement. Entre autres, aux personnes qui ont fait un don, qui ont envoyé des fleurs ou qui ont assisté aux funérailles. Cela dit, de nos jours, on ne s’attend plus à ce que vous remerciiez par écrit toutes les personnes qui vous ont envoyé une carte de condoléances. Le salon funéraire vous donnera toutes les cartes qui accompagnent les couronnes de fleurs ou les dons réalisés. Mais peut-être recevrez-vous également des fleurs à l’église ou directement chez vous. Notez tous les noms et toutes les adresses. Le salon funéraire vous fournira une réserve de cartes de remerciement. Vous en aurez probablement besoin de plus, comme ce fut le cas pour moi.
4. Trouver le contrat d’assurance-vie et faire une demande (si vous en êtes bénéficiaire)
Pour faire la demande, et pour d’autres tâches administratives, vous devrez produire le certificat de décès. Le salon funéraire vous en fournira plusieurs exemplaires. Besoin d’aide pour remplir une demande de règlement auprès de la Sun Life?
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Conseils pour l’organisation de funérailles
Laissez-moi conclure sur quelques réflexions qui vous aideront, je l’espère, à traverser cette période difficile.
1. Prévoyez
Demandez à vos parents quels sont leurs souhaits. Parlez à votre conjoint ou conjointe, vos frères et sœurs, vos enfants majeurs. Prenez des décisions à l’avance. Mon mari et moi, par exemple envisageons d’acheter un lot près de ceux de mes parents et grands-parents. Toutes les décisions que vous anticiperez faciliteront les démarches pour votre famille et vos proches.
2. N’attendez pas la perfection
Un accident peut vite arriver, et les choses ne se déroulent pas toujours comme prévu. Mais les personnes présentes sauront vous soutenir. Voici une anecdote : juste avant la cérémonie, j’ai remarqué que j’avais égaré l’éloge que j’avais écrit pour mon père. Je ne l’avais pas mémorisé, et je commençais à paniquer. Heureusement, j’ai pu le lire sur mon téléphone. Tout a plutôt bien fonctionné, mais j’ai dû me concentrer pour ne pas perdre le fil du texte. C’est sûrement la raison pour laquelle j’ai réussi à arriver au bout sans m’effondrer en sanglots. Mais ne vous en faites pas si vous vous laissez submerger par l’émotion; ce sont des choses qui arrivent. Faites-vous accompagner et, si vous sentez que vous ne pourrez pas aller au bout, laissez l’autre personne poursuivre le discours pour vous. N’oubliez pas les mouchoirs!
3. Faites preuve d’indulgence
Avec les autres, et avec vous-même. Les funérailles peuvent être le catalyseur de toutes les rancunes au sein d’une famille. Toutes les émotions sont prêtes à faire surface. Parfois, c’est le fruit de la fatigue à cause des nombreuses nuits passées à l’hôpital sans dormir. La moindre remarque, même venant d’une personne très proche, peut alors faire mal. Afin de prévenir des blessures qui pourraient mettre des années à cicatriser, faites preuve d’indulgence envers votre famille. N’ayez pas peur de répondre simplement « merci pour ta contribution ». Et essayez de vous reposer.
Aucune douleur n’est comparable à celle de perdre quelqu’un qu’on aime. Mais je vous fais une promesse: vous surmonterez cette épreuve. Vous ne l’oublierez pas, mais vous la surmonterez. Acceptez l’aide de vos amis. Acceptez toute aide qu’on vous propose. Et prenez soin de vous.
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